Vers 1825, la ville loyaliste de Saint-Jean Θtait arrivΘe α maturitΘ. Sa population avait atteint le cap des 10 000 habitants et les citoyens avaient commencΘ α connaεtre quelques-unes des difficultΘs de la vie urbaine. Les rues Θtroites et les bΓtiments rapprochΘs, typiques de la pΘriode, rΘduisaient nombre de gens α la promiscuitΘ. Le danger d'incendie menaτait constamment la vie et la propriΘtΘ des gens. En plus de ce flΘau, les vaches et les porcs se promenaient α volontΘ dans les rues. Les services Θtaient encore rudimentaires et la majoritΘ des gens tiraient leur eau de pompes publiques situΘes α des coins de rues stratΘgiques. Cette vue de la ville nous offre un aperτu de la pΘninsule de Parrtown (le c⌠tΘ est) et du port α partir de Portland Heights. La plupart des gens vivaient autour de la partie supΘrieure du port, car une grande partie du cotΘ est Θtait encore constituΘe de pΓturages.