└ l'Θpoque o∙ toutes les Θcoles relativement grandes α l'extΘrieur du foyer Θtaient considΘrΘes comme ½publiques╗ mΩme si elles exigeaient des frais de scolaritΘ, l'Θcole ½privΘe╗ se rΘduisait α l'instruction dispensΘe α la maison par les parents ou un tuteur. Mais l'apparition de l'Θcole gratuite a changΘ la signification de ces mots. Vers la fin du dix-neuviΦme siΦcle, l'Θcole privΘe Θtait considΘrΘe comme une institution qui, contrairement α l'Θcole publique, ou mΩme α l'Θcole secondaire publique qui n'Θtait pas tout α fait gratuite, exigeait des frais plut⌠t ΘlevΘs et Θtait rΘservΘe α une Θlite. La photo du haut fut prise dans la salle de rΘception du couvent des Ursulines, α QuΘbec; l'autre photo reprΘsente les ΘlΦves et le personnel enseignant de l'Θcole ½Pinecrest╗ de Mrs. Forster, sur Grange Road, α Toronto, en 1864. Ces deux Θcoles avaient un objectif en commun: l'Θducation des ½jeunes dames╗. Les promoteurs de l'Θcole publique se plaignaient souvent de l'impossibilitΘ d'amener la clientΦle de ces sΘminaires, collΦges et acadΘmies privΘs α frΘquenter les Θcoles publiques, mΩme si, en fait, avec l'expansion de l'Θducation publique, bon nombre des petites Θcoles privΘes sont disparues.