└ l'Θpoque du rΘgime franτais, les Canadiens avaient une grande passion pour les chevaux fougueux. Tous, hommes et garτons, avaient leur propre cheval dont ils se servaient plus pour la course ou α l'occasion de rΘunions sociales que pour le travail de la terre. Les routes, peu nombreuses, n'Θtaient pas pavΘes, mais les Canadiens se dΘplaτaient en calΦches, voitures dotΘes d'une trΦs bonne suspension. Ils avaient pris l'habitude de les mener α tombeau ouvert dans les villes sans tenir compte du danger encouru par les piΘtons et ce, en dΘpit des lois sΘvΦres interdisant cette pratique. Ils mettaient au point d'honneur α ne pas se laisser dΘpasser par une autre calΦche, ou un traεneau, et il en rΘsultait des courses sur la route et de nombreux accidents. En somme, les choses n'Θtaient pas diffΘrentes en ce temps-lα de ce qu'elles sont aujourd'hui sur les routes du QuΘbec.
