Certains mineurs, traquÄs par la police, se rÄfugient ê l'intÄrieur de l'Äglise et y passent la nuit. D'autres, venus de l'extÄrieur de la ville et n'ayant pas de place pour coucher, font de mÉme. On les voit ici, la mine basse, le visage dans les mains ou les mains jointes, prier avec ferveur, alors que les policiers ratissent la ville et les surveillent. Certains visages semblent empreints de dÄsespoir et de peur.