Les portes Θtaient les parties les plus vulnΘrables de la forteresse. Pour cette raison, les gardes devaient se conformer rigoureusement α de nombreuses mesures de sΘcuritΘ. Toutes les dispositions Θtaient prises afin de dΘfendre les portes contre une infiltration ennemie ou une attaque ouverte. Tous ceux qui entraient faisaient l'objet d'un examen minutieux, et les Θtrangers Θtaient amenΘs au gouverneur pour interrogatoire avant d'Ωtre autorisΘs α circuler librement dans la ville. En Θtat d'alerte, on levait tous les ponts-levis pour empΩcher qui que ce f√t d'entrer ou de sortir. Le soir, on fermait α clΘ toutes les portes, on ajoutait des sentinelles, et les gardes en faction fixaient une ba∩onnette α leur mousquet. Le matin, la circulation ne reprenait pas avant qu'on n'e√t soigneusement inspectΘ les abords des portes. L'isolement de Louisbourg entraεna vraisemblablement une attitude quelque peu relΓchΘe α l'Θgard de la sΘcuritΘ, mais la plupart des mesures habituelles Θtaient observΘes.
