Il existait un petit nombre d'enfants qui gagnaient leur vie en cirant les chaussures. Comme les camelots, ces enfants Ätaient semi-indÄpendants de leur famille et formaient un sous-prolÄtariat de gamins des rues qui parcouraient la ville. Les rÄformateurs sociaux associaient ces enfants aux actes criminels, surtout aux vols. En 1889, un mouvement en faveur de l'Ätablissement de rÅglements et d'un permis pour les petits vendeurs de journaux visait Ägalement ê rÄduire le nombre de filles qui participaient ê la vente. MalgrÄ le nombre croissant des femmes travaillant ê l'extÄrieur, l'opinion bourgeoise insistait pour que les femmes et les jeunes filles fassent l'objet d'une protection supplÄmentaire.
