Quelques habitants de Hope Place, Londres, vers 1911.
Dans les quartiers prolΘtaires de toutes les villes industrielles d'Angleterre, les maisons en rangΘe constituaient le mode de logement le plus rΘpandu. Construites α l'origine comme maisons unifamiliales, avec deux piΦces au premier Θtage et deux autres au rez-de-chaussΘe, ces maisons, dans les quartiers pauvres, Θtaient souvent subdivisΘes pour abriter trois familles ou plus, α raison d'une famille par piΦce. └ l'Θpoque o∙ cette photo a ΘtΘ prise, Londres comptait sept millions et quart d'habitants et l'Ontario, deux millions et demi. Les enfants qui grandissaient dans les taudis n'avaient ni cours, ni parcs pour jouer, mais contrairement aux descriptions des visiteurs de classe moyenne, la violence et les troubles Θtaient rares dans ce milieu. Les plus jeunes, sur cette photo, semblent tous Ωtre vΩtus chaudement. Les frΦres et soeurs aεnΘs prennent soin des plus jeunes. Les mΦres de famille de toutes les maisons ont lavΘ α la chaux les marches et la brique basse du devant afin d'Θtablir la dΘmarcation entre leur demeure impeccable et la saletΘ de la rue.
