Au cours de la derniÅre annÄe de la guerre, le radicalisme reprend des forces et l'activisme redouble de vigueur parmi les travailleurs canadiens. Les mineurs de Br₧lÄ proclament leur solidaritÄ en anglais et en ukrainien. Cette derniÅre langue est bannie en ao₧t 1918 par un dÄcret du gouvernement fÄdÄral qui prÄtend que des organisations pro- allemandes, pacifiques ou rÄvolutionnaires en font usage.
Source: MusÄe et Archives provinciales de l'Alberta