Dans l'escalade de la violence des jours de mai, les deux parties en viennent violemment aux coups. Les mineurs exaspΘrΘs insultent souvent les policiers et les briseurs de grΦve, renversent et incendient leurs voitures. Bien qu'il y ait eu quelques policiers de molestΘs, les chefs syndicaux rΘussirent cependant α contenir la fureur des grΘvistes.
La police provinciale a utilisΘ la force, voir mΩme comme l'Θcrivait Le Devoir, la brutalitΘ. Cette photo a fait la manchette de plusieurs journaux; la brutalitΘ dont ils font preuve a amenΘ la population et une partie du clergΘ α manifestΘ de la sympathie pour les grΘvistes.
