Les employΘs de la compagnie de tΘlΘphone pouvaient tirer un certain prestige de leur emploi. En effet, contrairement aux travailleuses de la chocolaterie (diapositive n░ 18), ces tΘlΘphonistes en poste dans l'immeuble Edmonton Telephone bΘnΘficiaient d'un minimum de confort; leurs chaises Θtaient munies de dossiers, elles Θtaient moins entassΘes et la salle Θtait mieux ΘclairΘe. Leur travail n'Θtait pas ½salissant╗ et la compagnie de tΘlΘphone favorisait une atmosphΦre propice au bon rendement. Les bureaux sur la gauche Θtaient probablement des postes de surveillants.
L'amΘlioration des communications a beaucoup contribuΘ α mettre fin α l'isolement des collectivitΘs et comme il n'y avait pas de matΘriel dΘsuet α remplacer, les habitants des Prairies Θtaient dotΘs du tout dernier matΘriel tΘlΘphonique. Edmonton a pu se vanter de possΘder le ½premier tΘlΘphone automatique d'AmΘrique╗.
Source: Archives provinciales de l'Alberta, collection E. Brown (B 1482)