Jardin d'enfants de Toronto, dÄbut des annÄes 1900.
Leur foi en la responsabilitÄ particuliÅre de la femme envers les enfants a conduit de nombreuses rÄformatrices ê dÄfendre des causes progressistes comme celle des jardins d'enfants, en particulier pour les dÄfavorisÄs, dont la vie ê la maison ne pouvait pas, croyait-on, les prÄparer aux responsabilitÄs d'une vie de citoyens heureuse et bien remplie. Beaucoup d'entre elles croyaient que l'Ämancipation de la femme garantirait le succÅs de ces causes.