Un passage de transition, chuchottΘ et mystΘrieux, nous ramΦne dans la dominante de "la" bΘmol majeur.
@Approfondir:@2
L'atmosphΦre triomphale s'Θteint progressivement et laisse un sentiment mΘlancolique et profond qui semble ne mener nulle part.
Ce n'est que l'un des nombreux passages mystΘrieux que nous rΘserve Beethoven dans sa symphonie. Il nous prΘpare peut-Ωtre ainsi α la transition du troisiΦme mouvement, l'Θpilogue.
Ce passage est jouΘ par les bassons et toutes les cordes α l'exception des contrebasses, en mouvement contraire.
Il termine la premiΦre partie du deuxiΦme mouvement dans une harmonie chromatique, et conduit α la dominante de "la" bΘmol majeur. Le "la" bΘmol majeur est la tonalitΘ principale de ce mouvement, et c'est dans cette tonalitΘ que va commencer la premiΦre variation.