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Text File  |  1998-02-10  |  1KB  |  19 lines

  1. {\fonttbl
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  4. }
  5. \paperw4260 \margr0\margl0 \plain \fs20 \f1 Les vΩtements Θtaient le plus souvent en lin. La couleur Θtait toujours le blanc naturel de la fibre.\par
  6. Le vΩtement masculin le plu
  7. s commun Θtait le pagne, de la taille aux genoux, de formes diffΘrentes suivant les Θpoques : ouvert ou fermΘ sur le devant, avec une sorte de tablier plissΘ, avec une pointe saillante.\par
  8. Dans les classes aisΘes, le pagne s'accompagne souvent d'une lar
  9. ge chemise et d'une sorte de manteau.\par
  10. Les dieux Θtaient habillΘs de la mΩme faτon, ainsi que le pharaon.\par
  11. Avec le temps, le vΩtement se complique jusqu'α s'allonger, prendre de l'ampleur et se couvrir de toujours plus de plissΘs, de bouillons et
  12.  de crevΘs.\par
  13. Les femmes portent un vΩtement long, assez moulant, serrΘ sous la poitrine.\par
  14. Celui-ci est parfois accompagnΘ d'un manteau qui sous le Nouvel Empire deviendra l'ΘlΘment principal.\par
  15. Les dΘesses sont vΩtues de la mΩme maniΦre : tout 
  16. comme les femmes des classes aisΘes, elles portent des vΩtements lΘgers et diaphanes qui laissent deviner leurs formes.\par
  17. Pour avoir toujours une chevelure digne de ce nom, les Egyptiens avaient recours α des perruques, des postiches, des tresses.
  18. \par
  19. Les perruques des classes supΘrieures sont abondantes, faites de cheveux vΘritables appliquΘs sur une calotte vΘgΘtale, souvent partagΘs en d'innombrables tresses ou en mΦches.