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Seuls les sharewares fonctionnels semblent avoir un réel avenir. Il est à noter que l'initiative de créer un tel standard provient des auteurs, qui nous montrent l'exemple, et il ne reste plus qu'aux distributeurs et aux utilisateurs à "jouer le jeu". Et par "jouer le jeu", on entend: De la part des distributeurs: Agir comme certains le font déjà depuis le départ, c'est à dire montrer un minimum de respect envers le travail des auteurs (et par voie de conséquence les utilisateurs!), en mettant régulièrement à jour leur catalogues, notamment quand les auteurs leur envoient des nouvelles versions de leur catalogue. Pour un distributeur, respecter le système du shareware, c'est également clairement mentionner (dans les encarts publicitaires et les publications) au moins une phrase expliquant que les logiciels qu'ils vendent ne sont des versions sharewares (pour la plupart), dont le seul destin est d'être testés puis éventuellement achetés en versions enregistrées directement auprès du ou des auteurs concernés. De la part des utilisateurs: Il existe, heureusement, des utilisateurs qui règlent les licences des logiciels qu'ils utilisent. Malheureusement, il n'est pas erroné de dire que la grande majorité des utilisateurs utilisent des logiciels shareware au-delà des périodes d'essai. Si ce phénomène se poursuit, le résultat est assez facile à prévoir: les auteurs ne perdront plus leur temps à tenter d'améliorer leurs créations, et le shareware, même s'il ne disparaîtra pas complètement, restera définitivement un grand champ en friche, truffé de vieilles versions, de démos, tout juste bons à remplir les disquettes (ou les serveurs Minitels) de certains distributeurs. Voyons un peu si les utilisateurs français seront à l'origine d'un essor du shareware en France, comme on le constate depuis déjà plusieurs années aux Etats-Unis. LE PRINCIPE DU SHAREWARE Le principe du shareware est assez simple. L'utilisateurs se procure une version appelée shareware d'un logiciel (version de test) auprès d'un distributeur spécialisé (30 Fr. maximum la disquette, au-delà, on se rapproche davantage d'un autre concept, communément appelé "l'arnaque") et teste le logiciel pendant une période approximative d'un mois. Si le logiciel correspond à ses besoins, et s'il souhaite l'utiliser régulièrement, il s'enregistre auprès de l'auteur, en lui achetant la version complète. Le fait de s'enregistrer pour un logiciel shareware permet souvent de bénéficier d'avantages importants, par exemple: - réception d'une version comportant des options supplémentaires - manuel imprimé - informations et remises sur les prochaines versions - support technique - etc.... Avantages pour l'utilisateur Il peut tester tranquillement le logiciel avant de l'acheter, donc aucune chance d'être déçu sur son achat. Il bénéficie de prix très inférieurs par rapport aux logiciels du commerce. Il peut communiquer facilement avec l'auteur pour un support technique efficace. Avantages pour le distributeur Il reçoit directement les logiciels de la part des auteurs, et peut les copier et les vendre à l'infini, sans rien payer aux auteurs. Avantages pour l'auteur Il n'a pas besoin de disposer d'un budget promotionnel important pour diffuser ses créations, ces frais étant pris en charge par le distributeur, qui assure la promotion et la diffusion du logiciel. Il est clair que ce système peut être qualifié d'idéal. La transparence est totale. Aucun autre secteur d'activité ne dispose d'un système aussi avantageux pour toutes les parties. Voila pourquoi, pour passer de la théorie à la pratique, chacun des acteurs (auteurs, distributeurs et utilisateurs) doivent "servir" le mieux possible ce système, sinon il finit par ne contenter personne. Il est facile pour un utilisateur d'utiliser un logiciel shareware plusieurs années sans le payer. Il tourne ainsi le système du shareware à son profit, et contribue à casser les vertus du système. Il est facile pour un distributeur de faire croire qu'il vend des logiciels à des prix "étonnants" sans mentionner que l'utilisateur n'achète que le droit d'utiliser le logiciel à des fins de test. Un tel distributeur tourne également le système du shareware à son profit, et contribue à casser les vertus du système. Et il est également facile pour un auteur de tourner le shareware à son profit, en diffusant des versions très limitées qu'il se permet d'appeler "shareware", en salissant l'image du système au détriment de ceux qui s'efforcent à la rehausser. Que vous soyez auteur, distributeur ou utilisateur, l'AFAS vous invite à respecter le système du shareware, afin que tout le monde y trouve son compte. Nous croyons fermement qu'il s'agit là de l'unique moyen de faire en sorte que le shareware soit synonyme de qualité et de prix abordables pour tous. A vous d'y réfléchir et de vous faire une opinion. LES LOGICIELS DES MEMBRES DE L'AFAS Voici en deux mots comment se présentent les logiciels sharewares des auteurs de l'AFAS. Il s'agit de programmes de qualité et agréables à utiliser dans la mesure où les fonctions importantes sont accessibles normalement. L'utilisation de ces logiciels est également agréable du fait de la limitations des écrans de rappels du shareware (l'AFAS recommande de limiter leur nombre à 2, à l'entrée et/ou à la sortie du logiciel). Ces écrans de rappels sont dépourvus de compte à rebours vous obligeant à rester planté devant votre écran en attendant que le temps d'attente soit écoulé. Si vous testez un logiciel de l'AFAS, vous verrez que chaque écran de rappel peut à tout moment être désactivé par l'appui d'une touche ou un clic de souris. Les écrans de rappel ne doivent pas être envahissants, ni trop agressifs. L'auteur vous fait confiance, il ne pose aucune barrière entre vous et le logiciel. Vous êtes entièrement libre de l'utiliser. Et souvenez-vous que si vous payez la licence, non seulement vous aurez la conscience tranquille, mais aussi vous bénéficiez d'avantages loin d'être négligeables (voir la section "Le système du shareware"). Mais par-dessus tout, vous devenez réellement un "supporter" du logiciel, dûment enregistré, et certainement que l'idée d'encourager son auteur à améliorer constamment son produit peut également vous séduire. LES COORDONNEES DE L'AFAS Si vous souhaitez en savoir plus sur l'AFAS, vous pouvez envoyer un courrier à l'adresse suivante: AFAS Mme Anne Marie Beignatborde La Herrane 32800 Réans (FRANCE)