ÜÜÜÜÜ ÜÜÜÜÜÜ ÜÜÜÜÜ ÜÜÜÜÜÜ Û Û Û Û Û Û ÛÜÜÜÜÜÛ ÛÜÜÜÜ ÛÜÜÜÜÜÛ ßÜÜÜÜÜ Û Û Û Û Û Û Û Û Û Û Û ÜÜÜÜÜÜß þþþþþþþþþþþþþþþþþþþþþþ Association Francaise des Auteurs de Shareware þþþþþþþþþþþþ þþþþþþ þ L'auteur de ce logiciel est membre de l'AFAS (Association Française des Auteurs de Shareware). Cela signifie que la version shareware du logiciel que vous utilisez correspond à un certain nombre de critères, en ce qui concerne sa qualité et également son caractère fonctionnel. Les logiciels des membres de l'AFAS ne sont pas des "demoware", c'est à dire des programmes dépourvus de certaines fonctions essentielles. Cette volonté de ne produire que des logiciels shareware pleinement fonctionnels résulte de plusieurs observations: - L'image du shareware mérite d'être rehaussée. - Les utilisateurs doivent pouvoir tester l'ensemble du logiciel. - Seuls les sharewares fonctionnels semblent avoir un réel avenir. Il est à noter que l'initiative de créer un tel standard provient des auteurs, qui montrent l'exemple, et il ne reste plus aux distributeurs et aux utilisateurs qu'à "jouer le jeu". Et par "jouer le jeu", on entend: De la part des distributeurs: Agir comme certains le font déjà depuis le départ, c'est à dire montrer un minumum de respect envers le travail des auteurs (et par voie de conséquence les utilisateurs!), en mettant régulièrement à jour leur catalogues, notamment quand les auteurs leur envoient des nouvelles versions de leur catalogue. Pour un distributeur, respecter le système du shareware, c'est également clairement mentionner (dans les encarts publicitaires et les publications) au moins une phrase expliquant que les logiciels qu'ils vendent sont des versions shareware (pour la plupart), dont le rôle est d'être testés puis éventuellement achetés en versions enregistrées directement auprès du ou des auteurs concernés. De la part des utilisateurs: Il existe, heureusement, des utilisateurs qui règlent les licences des logiciels qu'ils utilisent. Malheureusement, il est dommage de constater que la majorité continue à employer des logiciels shareware au-delà des périodes d'essai. Si ce phénomène se poursuit, le résultat est assez facile à prévoir: les auteurs ne perdront plus leur temps à tenter d'améliorer leurs créations, et le shareware, même s'il ne disparaitra pas complétement, deviendra progressivement comme un grand champ en friche, plein de vieilles versions, ou de simple démos... Voyons un peu si les utilisateurs français seront à l'origine d'un essor du shareware en France, comme on le constate depuis déjà plusieurs années aux Etats-Unis... Le principe du Shareware Le principe du shareware est assez simple. L'utilisateurs se procure une version d'un logiciel appellée shareware (version de test) auprès d'un distributeur spécialisé (30 Frs maximum la disquette, au-delà, on se rapproche davantage d'un autre concept, communément appelé "l'arnaque") et teste le logiciel pendant une période approximative d'un mois. Si le logiciel correspond à ses besoins, et s'il souhaite l'utiliser régulièrement, il s'enregistre auprès de l'auteur, en lui payant la version complète. Le fait de s'enregistrer pour un logiciel shareware permet souvent de bénéficier d'avantages important, tels que: - réception d'une version comportant des options supplémentaires, - manuel imprimé, - informations et remises sur les prochaines versions, - support technique, - etc... Le principe du shareware procure des avantages pour les trois parties. Avantages pour l'utilisateur Il peut tester tranquillement le logiciel avant de l'acheter, donc aucune chance d'être déçu par son acquisition. Il bénéficie de prix très inférieurs par rapport aux logiciels du commerce. Il peut communiquer facilement avec l'auteur pour un support technique efficace. Avantages pour le distributeur Il reçoit directement les logiciels de la part des auteurs, et peut les copier et les vendre à l'infini, sans rien payer aux auteurs. Avantages pour l'auteur Il n'a pas besoin de disposer d'un budget promotionnel important pour diffuser ses créations, ces frais étant pris en charge par le distributeur, qui assure la promotion et la diffusion du logiciel. Il est clair que ce système peut être qualifié d'idéal. La transparence est totale. Aucun autre secteur d'activité ne dispose d'un système aussi avantageux pour toutes les parties. Voila pourquoi, pour passer de la théorie à la pratique, chacune des parties doit "servir" le mieux possible ce système, sans quoi il finira par ne contenter personne. Il est facile pour un utilisateur d'employer un logiciel shareware des années sans le payer. Il tourne ainsi le système du shareware à son profit, et contribue à détruire les vertus du système. Il est facile pour un distributeur de faire croire qu'il vend des logiciels à des prix "étonnants" sans mentionner que l'utilisateur n'achète que le droit d'employer le logiciel à des fins de test. Un tel distributeur tourne également le système du shareware à son profit, et nuit au système. Et il est également facile pour un auteur de tourner le shareware à son profit, en diffusant des versions très lmitées qu'il se permet d'appeller "shareware", ce qui dégrade l'image du système quand d'autres s'efforcent au contraire de la rehausser. Que vous soyez auteur, distributeur ou utilisateur, l'AFAS vous invite à respecter le système du shareware, afin que tout le monde y trouve son compte. Nous croyons sincérement qu'il s'agit-là de l'unique moyen de parvenir à ce que le shareware soit synonyme de qualité et de prix abordables pour tous. A vous d'y réfléchir et de vous faire une opinion. Les logiciels des membres de l'AFAS Voici en quelques mots comment se présentent les logiciels shareware des auteurs de l'AFAS: il s'agit de programmes de qualité et agréables à utiliser dans la mesure où les fonctions importantes sont accessibles normalement. L'utilisation de ces logiciels est également agréable du fait de la limitation des écrans de rappels du shareware (l'AFAS demande de limiter leur nombre à 2, à l'entrée et/ou à la sortie du logiciel). Ces écrans de rappels sont dépourvus de compte à rebours qui obligent à rester en attente devant son écran pendant que le délai s'écoule! Si vous testez un logiciel de l'AFAS, vous verrez que chaque écran de rappel peut à tout moment être désactivé par l'appui d'une touche ou un clic de souris. Les écrans de rappel ne doivent pas être envahissants, ni trop agressifs. L'auteur vous fait confiance, il ne pose aucune barrière entre vous et le logiciel. Vous êtes entièrement libre de l'utiliser. Et souvenez-vous que si vous payez la licence, non seulement vous aurez la conscience tranquille, mais aussi vous bénéficiez d'avantages loin d'être négligeables (voir la section "Le système du shareware"). Mais par-dessus tout, vous devenez réellement un "supporter" du logiciel, dûment enregistré, et certainement, l'idée d'encourager son auteur à améliorer constamment son produit peut également vous séduire. Les coordonnées de l'AFAS Si vous souhaitez en savoir plus sur l'AFAS, vous pouvez envoyer un courrier à l'adresse suivante: AFAS Mme Anne Marie Beignatborde La Herrane 32800 Réans