Observation de la ville de Berlin!


9 - L'ERMITE

         Par TUESDAY LOBSANG RAMPA
         Monaco :Éd. Rocher, 1987, 222 p. et 1991, 256 p.
         Paris : Éd. J'ai Lu, 1989, 250 P.
         Montréal, Éd. de l'Homme, c1971, 222 p.

{L'Ermite, par Rampa: (pages 73 à 93)(Extraits)}[22]Observation de la ville de Berlin!

    « Mon ravisseur me surveillait avec grande attention. Il fit bouger certaines choses et l'image du paysage -- peu importe comment je pourrais appeler cette chose merveilleuse -- se brouilla, donna une impression de vitesse, puis se stabilisa une fois de plus. « Ici, me dit l'homme, tu vois le Gange qui, comme tu le sais, est le Fleuve Sacré de l'Inde. »

    « ... Ici, devant moi, sans erreur possible se trouvait vraiment le Gange. Soudainement, à mon étonnement le plus profond, je réalisai que non seulement je voyais, mais que j'entendais aussi. Je pouvais entendre les Hindous chanter et constater ensuite pourquoi. Il avaient étendu un corps sur une terrasse située au bord de l'eau et aspergeaient le cadavre avec de l'Eau Sainte du Gange avant de l'accompagner jusqu'au bûcher.

    « .... Sur les rives, les femmes retiraient leur robe sans la moindre gène, mais, d'un autre côté, les hommes agissaient de la même façon.... Je me mis à penser à leurs Temples, à ces Temples en espaliers, Aux Grottes, aux colonnades, et plus je regardais, plus j'étais ébloui. Oui, il s'agissait vraiment de la réalité et je commençais à être brouillé.

    « ... « Berlin », dit-il. Évidemment, je savais que Berlin était une ville situé quelque part en Occident, mais tout ceci était si étrange qu'en vérité cela n'éveillait en moi aucun écho. ... Ici S'élevaient de grands édifices dont l'architecture et la taille étaient remarquablement uniformes. Je n'avais jamais tant vu de verre de ma vie. Partout il y avait des fenêtres de verre. Et puis, sur ce qui semblait être un chemin très dur, il y avait deux tiges de métal serties dans la route elle-même. Elles étaient luisantes, la distance qui les séparait était constamment uniforme, et je ne pouvais pas comprendre pourquoi.

    « Au détour d'un coin de rue et en plein dans mon champ de vision, je vis deux chevaux marcher l'un derrière l'autre et, tu ne me croiras peut-être pas, mais ils tiraient ce qui semblait être une boîte métallique posée sur des roues. Les chevaux marchaient entre les barres de métal et les roues de la boîte métallique roulaient effectivement le long de ces barres. La boîtes avaient des fenêtres, des fenêtres tout autour et, en scrutant bien, je pus voir des gens, des gens qui se trouvaient à l'intérieur de la boîte, des gens qui se  faisaient tirer.

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