"La Treizième Chandelle"Par TUESDAY LOBSANG RAMPA -> « The thirteenth candle » -- Paris : Éditions J'ai lu, N° 2593; 249 pages; 11 × 18 cm, 1997. {(pages 220 et 221)(Extrait 22)}.
« Si l'âme quitte une personne qui est devenue semblable à un végétal, à un chou, la science médicale devrait-elle recourir à des moyens purement mécaniques pour la garder en vie? »
Mon opinion personnelle est : « Non. » Lorsqu'une personne est malade au point que l'entité ne l'habite plus et que la vie de cette personne ne tient que par un des moyens mécaniques, alors, c'est une erreur et une sottise de prolonger cette vie. Il conviendrait de renoncer aux moyens techniques et de laisser mourir le corps. C'est la méthode qui manifeste la plus grande bienveillance. On entend si souvent parler, à notre époquie, de malades incurables qui aspirent à mourir et dont on prolonge la vie en leur enfonçant dans le corps de grands tubes et en les reliant à toutes sortes d'appareils diaboliques... Eh bien, ce n'est pas cela, vivre. Pourquoi ne pas laisser ces mourants « rentrer à la maison » au lieu de les comdamner à une mort vivante?
********************