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| | Somme des connaissances et des habiletés acquises par une personne à l'extérieur du cadre scolaire, le plus souvent dans un milieu de travail ou dans des activités volontaires. [MEQ, 1990] |
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| | Selon le CSE (1992), ½ enseigner est un acte essentiellement professionnel, non pas au sens des professions libérales, mais en raison du caractère particulier et essentiel du service rendu, des compétences requises pour l'exercer, de l'étendue de la responsabilité qu'il implique et des exigences éthiques qui s'y rattachent ╗. |
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| | C'est une personne clairement désignée et nommée à qui la loi ou le règlement demande d'assumer des responsabilités et de rendre des comptes dans une organisation, c'est-à-dire la directrice. |
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| | C'est une ½ personne morale ╗ qui a la responsabilité d'assumer certains types de fonctions prévues par une loi ou un règlement. Exemple : le conseil d'établissement, la direction de l'école, l'association des élèves. |
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| | La définition de ce qu'est un ½adulte╗ représente un autre élément central de l'éducation des adultes. À ce sujet, il faut relever des variations importantes selon le point de vue adopté :
Sur le plan légal, chaque société établit un seuil d'accès au statut d'adulte. Cette définition peut être différente de celle déterminée pour l'accès au système public d'éducation des adultes. Ainsi, à l'origine au Québec, dans le réseau des commissions scolaires, l'éducation des adultes était réservée aux personnes âgées de 18 ans et ayant quitté l'école pendant au moins six mois. En 1988, l'accès fut abaissé à 16 ans et la période d'absence du milieu scolaire fut abolie. Dans les universités, par ailleurs, la ½base adulte╗ correspond généralement à 21 ans et une expérience dans le domaine d'études envisagé. Une des solutions qui tend à se développer est d'utiliser l'expression ½éducation et formation des adultes╗ (ÉFA) pour englober les dimensions fondamentales et instrumentales ou fonctionnelles du champ.
Sur les plans physique, psychologique et sociologique, la définition d'adulte s'attache plutôt à la maturité d'une personne et à son degré d'autonomie sociale. Or, certains centres d'éducation des adultes, au Québec, accueillent parfois une proportion considérable d'adultes de moins de 25 ans qui n'ont jamais quitté l'école et demeurent encore chez leurs parents. Plusieurs de ces ½adultes╗ n'ont pas encore atteint la maturité adulte.
Enfin, l'âge adulte s'étend jusqu'au terme de la vie. Or, il existe une tendance à exclure les personnes du troisième âge. Par exemple, nombre d'études de l'OCDE sur l'éducation des adultes retiennent pour fins de statistiques (et de politiques) les seuls adultes de 25-64 ans. Ce faisant, elles s'inscrivent à l'encontre du principe de l'½éducation permanente╗ ou de ½l'éducation tout au long de la vie╗, qui n'impose aucun terme prédéterminé à la fin de l'apprentissage adulte.
L'exclusion des adultes de 65 ans et plus des données statistiques et des études risque bien sûr de les éliminer des pratiques et des programmes. Cette pratique est d'autant plus grave que l'espérance de vie va en augmentant dans l'ensemble des sociétés postindustrielles dont le Québec fait partie.
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| | Processus éducatif qui a pour objet d'apprendre aux individus analphabètes à lire et à écrire. Il comporte généralement l'enseignement du calcul. Il est à remarquer que le terme anglais literacy signifie la capacité de lire et écrire, pour traduire le processus d'alphabétisation, il faut employer literacy education. [Unesco, 1979] |
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Alphabétisation fonctionnelle
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| | Apprentissage de la lecture, de l'écriture et du calcul relié à l'exercice de ces capacités dans toutes les activités où l'alphabétisation est indispensable pour une action efficace dans le groupe et la communauté ; ce concept implique également la faculté de continuer à utiliser les résultats de cet apprentissage, pour le développement personnel et celui de la communauté. Functional literacy, en anglais, signifie une capacité, non pas un processus, comme équivalent d'alphabétisation fonctionnelle, le terme functional literacy education est à employer. [Unesco, 1979] |
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| | La science et l'art de la formation des adultes. Le terme a été introduit pour distinguer cette discipline de celle de l'enseignement des enfants (pédagogie). [Unesco, 1979] |
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| | Spécialiste de l'andragogie. [MEQ, 1990] |
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| | Aux fins de Statistique Canada (1994), les apprenants adultes sont les personnes âgées de 17 ans et plus, inscrites à une activité éducative ou de formation structurée. Ces apprenants ont dépassé l'âge de fréquentation scolaire obligatoire. Pour le MEQ, peut être ½ adulte ╗ un jeune ayant atteint l'âge de 16 ans. |
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Attestation d'équivalence
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| | Pièce officielle établissant la correspondance ou l'égalité de valeur entre les études faites par une personne à l'extérieur de l'actuel système scolaire du Québec et une classe ou un programme d'études de ce système. [MEQ, 1990] |
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| | Document certifiant qu'un élève a fait des études dans un domaine déterminé et comportant généralement les résultats obtenus. [MEQ, 1990] |
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| | Fait de s'instruire soi-même, d'apprendre un art, une science, une profession ou un métier sans l'aide de professeurs et à l'extérieur du cadre scolaire. [MEQ, 1990] |
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| | Apprentissage accompli par l'individu sans qu'il soit aidé par une autre personne ou par une institution. [Unesco, 1979] |
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| | Activité éducative qui est essentiellement le fait du sujet, les éducateurs ayant pour rôle principal de procurer à celui-ci un milieu favorable à cette activité. [MEQ, 1990] |
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| | Est un corps administratif légalement constitué (loi180), dont le mandat est d'organiser et régir les écoles publiques sur son territoire. En font partie les commissaires, les parents élus, les enseignants, les élèves, les administrateurs, le personnel non enseignant. |
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| | Est le milieu à la fois social, culturel, économique, politique, voire géographique, dans lequel est implantée l'école, et qui regroupe tous ceux qui s'intéressent à l'ensemble du contexte scolaire pour qu'il fonctionne convenablement. Ce concept a donné naissance à l'idée d'une école qui devra, avec son milieu environnant, se transformer dans sa dynamique en une communauté éducative. |
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| | Être de confession catholique ou de foi catholique veut dire que nous adhérons aux valeurs, aux fondements, en un mot, au contenu qui définit et décrit la religion catholique et la distingue des autres religions (par exemple, la religion protestante). |
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| | Le mot confessionnalité renvoie au mot confession qui correspond à une foi, à une Église, à une religion particulière. Par exemple, être de confession catholique veut dire que nous adhérons aux valeurs, aux fondements, en un mot, au contenu qui définit et décrit la religion catholique et à ce qui la distingue des autres religions. |
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| | C'est tout ce qui concerne une confession ou une foi particulière. Exemple : une école confessionnelle. |
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| | Processus éducatif qui a pour objet d'aider une population analphabète vivant dans une situation très défavorisée à maîtriser son propre sort. On s'efforce d'éveiller la conscience de ce public, de développer chez lui une évaluation critique de sa situation, pour qu'il puisse intervenir pour la transformer. On emploie la méthode du dialogue pour préparer à l'action. L'expression vient du portugais. [Unesco, 1979] |
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| | Est une instance composée des élus, qui, selon la loi, a un pouvoir législatif et qui administre une commission scolaire. |
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| | Assemblée de personnes désignées par la loi 180 en vue de délibérer sur un certain nombre de questions qui relèvent de leur responsabilité (c'est-à-dire d'adopter le projet éducatif de l'école, voir à sa réalisation et procéder à son évaluation ou approuver les modalités d'application du régime pédagogique). |
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Conseiller pédagogique / conseillère pédagogique
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| | Personne chargée de conseiller le personnel cadre des services d'enseignement d'une commission scolaire et celui des établissements d'enseignement, et d'assurer l'animation pédagogique auprès des enseignants en matière d'innovation pédagogique, d'implantation et d'évaluation des programmes et des méthodes pédagogiques, d'évaluation des apprentissages ainsi qu'en matériel didactique. [MEQ, 1990] |
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| | Selon Tardif (1995), à la suite de Mouriaux (1985), on peut distinguer historiquement quatre acceptions du terme :
1- système d'organisation économique et social en vigueur autrefois (les communautés de métier)
2- à partir du XlXe siècle, un ordre social régi par des professions et formant des corps intermédiaires
3- à compter de la Seconde Guerre mondiale, les formes d'organisation du métier, de la profession, de la qualification (médecins, architectes, agriculteurs, enseignants, notaires)
4- depuis 1965, émergence d'un système d'intégration à l'État des grands groupes professionnels
Au Québec, traditionnellement (en fait, depuis l'incorporation des notaires et médecins en 1847), l'idéologie corporatiste fait primer l'intérêt du public sur l'intérêt professionnel, s'appuyant en cela sur la notion de vocation ou de service. En 1946, les enseignants optent en faveur de cette idéologie, dans une recherche de paix sociale par la concertation des différentes corporations de métier avec le patronat, suivant en cela la doctrine sociale de l'Église et le courant nationaliste traditionaliste catholique dominant à ce moment-là, pour ensuite s'en détacher graduellement. |
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| | Néologisme, créé au début des années 60, qui correspond au processus qui permet à une école de rompre les liens avec une confession donnée. |
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| | La dissidence est un droit acquis par la Constitution canadienne. Elle est définie comme le droit des résidents d'une municipalité (propriétaires ou locataires) professant une croyance religieuse différente (obligatoirement catholique ou protestante) de celle de la majorité de se soustraire au contrôle des commissaires et de former une administration confessionnelle séparée. |
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| | C'est un ensemble des règles ou dispositions juridiques qui régissent les rapports entre les hommes dans une société ou une institution donnée. |
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| | On définit une école confessionnelle comme une école qui reconnaît une foi religieuse tant dans son enseignement et son organisation que dans sa vie pédagogique. On y enseigne donc les croyances et les pratiques d'une religion en poursuivant un projet éducatif inspiré par les principes et les valeurs caractéristiques de la tradition religieuse. La majorité des enseignants et des élèves appartiennent à cette confessionnalité. Sur le plan juridique, la législation scolaire québécoise exige que cette école soit reconnue par le Comité catholique ou par le Comité protestant, selon le cas. |
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| | Se dit d'une école où des enfants de toutes croyances peuvent se côtoyer, mais où l'enseignement est donné sans référence à une confession particulière. Cette école refuse ouvertement toute allégeance religieuse érigeant en principe la séparation entre le domaine scolaire et le domaine religieux. Dans ce genre d'école, toute forme d'instruction ou de pratique religieuse est interdite, sauf si elle est offerte en dehors de l'horaire régulier de l'élève. L'école neutre n'est pas antireligieuse, mais elle laisse aux parents et à l'Église le soin de donner l'enseignement religieux et l'enseignement moral. |
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École multiconfessionnelle ou pluraliste
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| | Ce terme désigne une école qui accueille des élèves de diverses confessions et qui leur donne la possibilité de recevoir un enseignement religieux en accord avec leur confession. Par exemple, une école de ce type pourrait offrir un enseignement religieux catholique pour les élèves catholiques, protestant pour les élèves protestants et juif pour les élèves juifs tout en offrant un enseignement moral accessible à l'ensemble des élèves. En termes juridiques stricts, une telle école serait non confessionnelle puisqu'elle n'inclut pas un projet éducatif d'une confession particulière. |
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| | Corporation privée qui détient un permis du ministère de l'Éducation pour contribuer au développement de l'enseignement au Québec. |
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| | Etablissement d'enseignement destiné à assurer la formation de l'élève, autre que celui inscrit aux services éducatifs pour les adultes. |
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École vue comme une communauté éducative
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| | Est une école qui mobilise tous ses acteurs, autant à l'interne que dans la communauté environnante, et qui mise sur le partage et la qualité de leurs relations pour réaliser sa mission éducative. Cette définition touche trois ordres de réalités : celui des valeurs, celui de l'organisation et celui de la relation entre les personnes (Quand l'école se prend en main, p.143-144). |
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| | Le fait pour les humains d'être égaux devant la loi, de jouir des mêmes droits. |
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| | Nom donné aux élèves selon l'enseignement dispensé ou le type d'établissement fréquenté. [MEQ, 1990] |
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| | Diverses mesures (pouvant inclure des activités de formation) visant à (ré)intégrer des individus en emploi. |
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| | Personne dont la profession est d'enseigner. [MEQ, 1990] |
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| | Cet enseignement porte essentiellement sur les préceptes, les lois et les valeurs qui guident la conduite humaine. Cet enseignement est d'abord centré sur l'apprentissage de certaines habiletés à acquérir, par exemple la capacité de démêler un cas ou de trouver des solutions à un dilemme moral, tout en laissant à chacun le soin de s'orienter et de choisir ses valeurs. L'enseignement moral vise à affiner le jugement moral des jeunes et à leur faire découvrir les exigences humaines fondamentales. Il s'appuie sur la raison humaine et cherche à dégager les lois ou les voies d'une réalisation authentique de la personne. |
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Enseignement moral et religieux
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| | Cet enseignement est basé sur une révélation. Il propose donc une vision du monde et des rapports humains qui découlent d'une religion. Depuis les années 80, il est également qualifié de moral puisque ce sont les croyances et les valeurs religieuses de cette même religion qui vont déterminer la conduite morale des personnes. Chez les catholiques, l'enseignement moral et religieux offert dans les écoles de confession catholique doit être confié à des personnes de foi catholique qui possèdent les qualifications nécessaires à cet enseignement. Elles ont donc reçu le baptême dans l'Église catholique romaine (ou un baptême reconnu par elle) et doivent se déclarer de foi catholique. Ces enseignants instruisent les enfants sur les doctrines, les croyances, les rites et les célébrations de la foi catholique. Ils y préparent également les enfants à recevoir les sacrements de Pardon, d'Eucharistie et de Confirmation. Chez les protestants, le contenu doctrinal n'est pas unique puisque le protestantisme, dans son essence même, est pluriel. L'enseignement moral et religieux offert dans les écoles de confession protestante comprend des programmes d'études bibliques basés sur des textes de l'Ancien et du Nouveau Testament de même que des programmes portant sur les religions du monde, la philosophie et la morale, le développement de la personnalité, les relations humaines et les problèmes sociaux.
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Enseignement par correspondance
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| | Enseignement à distance dont les matières de chaque leçon, complétées par des exercices pratiques, sont livrées au domicile de l'élève, ce dernier renvoyant les exercices en vue de la correction et de la notation. [MEQ, 1990] |
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| | Ces termes désignent tout ordre d'enseignement qui suit l'ordre secondaire d'enseignement. |
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| | C'est un principe de justice qui voudrait qu'il y ait égalité lorsque chacun reçoit la part qui correspond à son niveau de besoin. |
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| | Expression utilisée pour désigner le fait d'obtenir des unités pour un cours sans l'avoir suivi. Un établissement peut accorder une équivalence lorsque la personne démontre qu'elle a atteint, par sa scolarité ou par sa formation extrascolaire, les objectifs du cours pour lequel elle demande une équivalence. |
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Études à temps plein/temps partiel
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| | La catégorie d'étudiants (étudiants à temps plein/étudiants à temps partiel) est déterminée par le répondant en fonction de son activité journalière ou hebdomadaire. Dans certains cas, la catégorie ainsi rapportée peut différer de celle identifiée par une maison d'enseignement. Tous les établissements classent leurs étudiants dans la catégorie des étudiants à temps plein ou dans la catégorie des étudiants à temps partiel selon le nombre de cours auxquels ils sont inscrits. [Statistique Canada, 1994] |
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| | Étudiant à temps plein ou à temps partiel poursuivant des études après avoir terminé son cycle initial d'études et qui passe un certain temps à faire autre chose (travailler, élever des enfants, voyager, etc.) avant d'entreprendre le programme d'études ou le cours qu'il suit actuellement. [Statistique Canada, 1994] |
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| | Élève d'un établissement universitaire. [MEQ, 1990] |
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| | Personne qui conçoit, organise ou anime des activités de formation continue. [MEQ, 1990] |
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| | Développement systématique des attitudes, connaissances et compétences d'une personne de sorte qu'elle puisse accomplir une tâche précise à un niveau de compétence donné. [Statistique Canada, 1994] |
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| | Mode d'enseignement permettant à un élève de recevoir une formation à domicile ou sur les lieux de travail. [MEQ, 1990] |
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| | Terme utilisé dans un sens large pour désigner tous types et formes d'enseignement ou de formation poursuivis par ceux qui ont quitté l'éducation formelle à un niveau quelconque, qui ont exercé une profession ou qui ont assumé des responsabilités d'adulte dans une société donnée (Unesco, 1978). Programme de formation axé sur l'acquisition, I'approfondissement ou la mise à jour de connaissances et destiné à toute personne ayant déjà quitté l'école (CTEQ, 1982). [Legendre, 1993] |
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| | Formation permettant l'acquisition des outils fondamentaux nécessaires aux adultes pour l'exercice de leurs divers rôles sociaux et pour la poursuite d'études ultérieures (Commission Jean, 1982). Formation dispensée dans un établissement d'enseignement ou dans une entreprise en vue d'une entrée immédiate en emploi ou d'une spécialisation, l'objectif étant d'inculquer les capacités pratiques et les connaissances fondamentales relatives à une profession ou à un groupe de professions (BIT, 1987). Développement de structures mentales transférables permettant l'intégration, la transformation toujours en évolution (Laliberté, 1991). Formation permettant d'acquérir les connaissances et de développer les aptitudes ou les habiletés considérées comme essentielles à l'approfondissement de ces connaissances ou à I'acquisition d'autres connaissances, ou encore permettant de développer des habiletés dans un domaine. [Legendre, 1993] |
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| | Programme éducatif organisé de telle façon que des périodes d'étude à plein temps alternent avec des périodes d'activité professionnelle. [Unesco, 1979] |
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Formation en cours d'emploi
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| | Formation professionnelle donnée dans le cadre du travail. La formation est donnée habituellement par le surveillant, par un collègue expérimenté ou par un instructeur. (Statistique Canada, 1994) |
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| | Apprentissages qui favorisent le développement intégral de la personne et qui sont nécessaires à toute activité humaine pleinement assumée (MEQ, 1978). Ensemble des apprentissages essentiels (dans le savoir et les connaissances organisées, dans les habiletés et les capacités, dans les aptitudes et le champ des valeurs) à un développement personnel continu et à une intégration dynamique dans la société (CSE, 1984). La formation fondamentale comporte trois objectifs généraux : prendre en charge sa croissance personnelle, agir en citoyenne ou en citoyen responsable et interagir positivement avec son environnement. Ces objectifs généraux sont porteurs d'une vision de l'être humain selon laquelle il est reconnu comme ½ être de relations ╗ (relation avec soi-même, avec les autres et avec l'environnement) et comme être en continuel développement dans chacun des aspects de sa personne. [ICÉA, 1994] |
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| | Enseignement ayant pour but de développer à la base les facultés de communication et de calcul et de transmettre progressivement des connaissances générales, littéraires, mathématiques, scientifiques, historiques, civiques, techniques, sociales, esthétiques, etc. (Munger, 1983). Formation ayant pour but le développement des facultés intellectuelles ainsi que l'acquisition de connaissances de caractère général (CTEQ). [Legendre, 1993] |
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| | Premier programme de formation conduisant à l'exercice d'un métier ou d'une profession (CTEQ). La formation initiale comprend souvent deux éléments : une formation générale suivie d'une spécialisation (Unesco, 1983). La formation initiale s'oppose à toute formation complémentaire ou ultérieure qui s'inscrit dans le cadre de la formation continue (CTEQ). [ICÉA, 1994] |
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Formation ou enseignement professionnel
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| | Activités et programmes conçus pour donner les compétences nécessaires en vue de l'exercice d'une profession ou d'un métier donné. Ces programmes mettent l'accent sur les habiletés techniques et sur des procédures clairement définies ou bien établies plutôt que sur l'application des idées et des principes. (Statistique Canada, 1994) |
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| | La formation par ½ projet ╗ se définit comme des services éducatifs qui ont la caractéristique d'être ½ ad hoc ╗ ou ponctuels. Elle vise à rendre les adultes capables de choisir en fonction des problèmes spécifiques qu'ils vivent à un moment donné, à acquérir les habiletés et les connaissances dont ils ont besoin pour assumer les responsabilités afférentes à leurs divers rôles sociaux. |
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Formation professionnelle
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| | Système organisé pour fournir aux élèves les habiletés nécessaires à l'exercice d'un métier, d'une technique ou d'une profession et impliquant une série d'expériences pratiques alternant avec des études dans une école, un département, une faculté ou un institut spécialisé. [Legendre, 1993]. |
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| | Type de formation qui répond de façon précise à un besoin spécifique ou à un problème de rendement au travail. [Legendre, 1993] |
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Formation-information-instruction
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| | La simple acquisition des connaissances n'est pas formation. Elle est plutôt instruction, somme d'informations ou encore, encyclopédisme. En plus des connaissances nécessaires, la formation implique le développement d'habiletés et d'aptitudes ainsi que l'intégration des savoirs dans la pratique quotidienne de la vie. [Legendre, 1993]
Les activités de formation par projet peuvent se situer dans le domaine professionnel ou personnel, tout autant que dans le domaine de la vie communautaire. Les individus ou les groupes peuvent avoir besoin d'une formation ½ ad hoc ╗ dans leur coopérative d'habitation ou dans leur rôle de parents ou dans leurs fonctions d'inhalothérapeutes, etc. Ces activités peuvent être créditées. [CEFA, 1982] |
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| | Ressortissant étranger venant s'établir au Canada. |
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Institution universitaire
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| | Il s'agit du modèle d'organisation des services éducatifs dont la mission principale reconnue est l'enseignement et la recherche, établie depuis le XlVe siècle. |
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| | C'est un ensemble de devoirs imposés par la loi, la morale ou les circonstances à une personne, par rapport à la société ou par rapport à ses responsabilités liées à une fonction. |
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| | Un ordre professionnel rassemble des membres d'une même occupation en vue de protéger le public usager des services offerts par les membres de la profession.
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| | Un terme générique qui comprend autant la représentation que la concertation. |
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| | Qui succède à la scolarité. [MEQ, 1990] |
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| | Selon Anadon (1999) et d'autres auteurs, il s'agit d'une occupation de subsistance caractérisée par une compétence acquise par de longues études, une pratique spécialisée, une haute responsabilité et un service centré sur les besoins de la société. |
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| | Selon Anadon (1999), il s'agit du processus, du cheminement d'un groupe de professionnels visant une certaine légitimité et un certain statut dans la société. Selon Perron, Lessard et Bélanger (1991, p. 6), il s'agit de ½ l'ensemble des démarches et des contenus orientés vers le développement des compétences requises pour l'exercice du ou des métiers de l'enseignement ╗. Finalement, Lessard et Tardif (1996, p. 35) fournissent la définition suivante : ½ Un processus d'institutionnalisation et d'autonomisation d'un champ d'activité, de promotion d'un groupe de praticiens dans le système éducatif et dans la société en général, et de la légitimation d'une expertise spécifique ╗. |
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Professionnalisme et Professionnalité
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| | Se dit d'un individu et/ou d'un groupe. Ce terme fait référence aux valeurs, attitudes et conceptions qui sous-tendent l'exercice d'une profession, d'une part, et aux exigences liées à l'exercice d'une profession, d'autre part. Récemment, dans le discours portant sur la professionnalisation de l'enseignement, on a eu recours à l'usage du terme professionnalité. Selon Lessard (1991), il s'agit d'un terme plus englobant de la réalité de la profession enseignante. |
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| | Document officiel expliquant les fondements, les objectifs et le contenu d'un cours donné. |
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| | Reconnaissance du savoir ou des savoir-faire acquis par les études ou par l'expérience [MEQ, 1990]. Principe selon lequel les apprentissages expérientiels et les autres cours suivis possèdent une valeur réelle de formation qui doit être reconnue dans un programme d'études. [Legendre, 1993] |
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| | Formation complémentaire ou entièrement nouvelle donnée à des adultes pour leur permettre de s'adapter aux progrès techniques ou scientifiques survenus dans leur spécialité ou de s'orienter vers de nouvelles activités. [MEQ, 1990] |
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| | Ensemble des principes et des règles régissant les services éducatifs d'un ordre d'enseignement, leur cadre d'organisation ainsi que la sanction des études. [MEQ, 1990] . |
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| | Désigne l'ensemble des dix universités au Québec. |
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| | C'est un ensemble d'attributions qui confère à une personne la possibilité d'agir en connaissance de cause dans un contexte bien précis. En ce sens, un responsable, c'est quelqu'un qui a le pouvoir de prendre des décisions dans un groupe organisé. |
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| | Ensemble intégré de services d'information, de documentation, de consultation et de soutien ayant pour objet de diriger les personnes qui en font la demande vers les ressources, éducatives ou autres, susceptibles de répondre à leurs besoins en matière d'éducation. [MEQ, 1990] |
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| | Période, de durée variable, au cours de laquelle un établissement d'enseignement propose des activités structurées de formation. [MEQ, 1990] |
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| | Période pendant laquelle le titulaire d'une autorisation provisoire ou d'un permis d'enseigner acquiert de l'expérience et fait preuve des aptitudes requises pour l'obtention d'un brevet d'enseignement. [MEQ, 1990] |
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| | Le fait pour un individu d'adhérer ou d'appartenir à un syndicat. Dans cette perspective, dans le cadre de ce module, le terme renvoie au processus qui permet historiquement aux enseignants de faire du syndicalisme, de s'associer en syndicat. |
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| | Selon le Petit Robert (1991), le syndicalisme est un mouvement qui constitue un fait social et politique représentant l'existence et l'action des syndicats de travailleurs salariés. Le syndicalisme se définit aussi comme une doctrine sociale, économique et politique habituellement guidée par une idéologie (capitalisme, christianisme, socialisme, etc.). Le syndicat se définit comme une association qui a pour objet la défense des droits et des intérêts de ses membres : salaires, conditions de travail, représentations auprès des entreprises ou des pouvoirs publics, etc. D'après Dionne (1991 : p. 7-12), avant de se constituer comme un mouvement social, le syndicalisme recherche une légitimité et une légalisation, pour ensuite arbitrer les revendications de tel ou tel corps de métier, comme le corps enseignant, par exemple. Le syndicalisme se distingue du corporatisme, qui représente l'existence et l'action des corporations (associations qui ont pour objet la réglementation d'une profession et la défense des intérêts de ses membres). Dans le module 5, nous parlons aussi d'action syndicale sous différents angles : historique, social, politique, pédagogique, etc. |
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| | Proportion des personnes inscrites dans un cours ou un programme qui s'en retirent avant la fin de la période d'instruction. [Unesco, 1979]
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| | L'université désigne l'entité physique et organisationnelle nommément constituée : Université de Montréal, par exemple. |